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nuscrit que nous publions est peut-être un des plus précieux témoignages fournis par le passé, sur ce qu’il y a de moins profondément étudié et de moins exactement connu dans l’ancien régime : Les mœurs domestiques » La Généalogie de messieurs du Laurens, par Jeanne du Laurens (leur sœur), a obtenu le plus brillant succès. On l’a déjà réimprimé deux fois[1] et on le réimprimera souvent encore.


1868.


Rapport de M. Focillon, professeur au lycée Louis-le-Grand, sur la Monographie d’une famille au XVIe siècle, publiée par M. Ch. de Ribbe. (Société internationale des études pratiques d’économie sociale. Bulletin de mai, 5me n° de la 4me année, p. 482-501. À la suite du rapport de M. Focillon on trouve des additions à ce rapport faites par M. Cochin, président de la société, (p. 501-503) et par M. de Ribbe (p. 501-515).


1869.


Un livre de famille au XVIIe siècle, par M. de La Prairie. Fragments du livre domestique de maistre Claude du Tour, advocat au Parlement et depuis conseiller du roi et son advocat au bailliage et siège présidial de Soissons, et de J. D. du Tour, son fils, aussi advocat au Présidial, ancien premier assesseur de la maréchaussée dudict Soissons. (Bulletin de la Société archéologique de Soissons, mai 1879). Tirage à part, brochure de 27 pages in-8o, imprimée à Saint-Quentin.


1870.


Un père de famille au XVIIe siècle, d’après un document original et inédit, par Jules de Terris (Extrait du 5me volume des Annales de la Société littéraire, scientifique et artistique d’Apt). Apt, in-8o,

  1. La seconde édition est de 1868. Voici le titre de l’édition suivante, que j’ai sous les yeux : Une famille au XVIe siècle d’après des documents originaux, précédée d’une lettre du R. P. Félix. 3me édition complètement refondue et très augmentée (Tours, Alfref Mame, 1879, in-18 de 220 pages. Les trois éditions sont ornées d’une lettre du R. P. Félix à M. Ch. de Ribbe, datée du 23 avril 1866, où l’éloquent religieux, louant à la fois le récit de Jeanne du Laurens et le travail de l’éditeur, célèbre « le charme d’une telle lecture et le profit d’un tel enseignement. »