Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 8.djvu/319

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

NOTES DU HUITIÈME VOLUME.




LE TRÉPIED DE FER.


Chapitre premier.

(A) L’arrêt est textuel. Voir Bibliothèque hist., page 284. Au dos de la pièce originale sont écrits ces mots : Cette sentence fut prononcée par la sénéchaussée le mercredi 13° jour du mois de juillet de l’année 1332.

(B) Poindre, vieux mot ; on dit encore une douleur poignante. Le proverbe est cité par Froissart, Chronique, t. II, p. 127.

(C) Voir pour tous les détails du tournoi et surtout à propos de la lâche et féroce inégalité du duel entre le noble et le serf, les Ordonnances des rois de France et le Formulaire, l’ordonnance fait suite à celle du mercredi de la Trinité de l’an 1 300 ; voir aussi Beaumanoir (le noble Légiste de la Féodalité), chap. LXIV.


Chapitre ii.

(A) Recueil des ordonnances royales, t. II, p. 212, année 1357.

(B) Grâce à ce droit de prise, les gens du roi et des princes larronnaient impunément les habitants, sous prétexte qu’ils ne devaient rien payer de ce qui était nécessaire au service du roi. Il en était de même des dettes contractées en son nom.