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Florette, regardant son époux avec amour et les yeux humides de larmes. — Mylio, je n’ai que mon cœur, mon amour, ma vie à vous donner ; c’est peu… pour le bonheur que je vous dois !

Peau-d’oie, venant interrompre joyeusement les deux amants. — Qu’avez-vous à chuchotter ainsi d’un air langoureux ? Chantez donc, au contraire, à pleine voix, ma chanson, petite Florette… c’est le cas ou jamais :

Robin m’aime Robin m’a.
Robin m’a voulu… il m’aura.