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sant à Billaud‑Varenne : — À demain, cher collègue ; nous arriverons de bonne heure à l’Assemblée, car le tyran doit paraître à la barre de la Convention.

— À demain, — répond Billaud‑Varenne ; — je vais à l’instant au Temple, et, avant une heure, Jean Lebrenn aura votre lettre ; — puis le conventionnel ajoute à part soi : — Décidément, Marat a raison d’avoir l’œil ouvert sur ce Desmarais.




fin du quatorzième volume.