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œuvres complètes de stendhal

déchiffrement de M. Débraye — la page entière échappait d’ailleurs le lendemain à Stendhal lui-même — nous avons décidé de la reproduire en fac-similé : bien que l’image soit légèrement réduite par les exigences de notre format, on pourra s’amuser à en tenter la lecture. Et on applaudira vite à la science du parfait paléographe qu’est Henry Débraye.

Il m’est impossible de nommer à cette place toutes les personnes qui m’ont encouragé dans mon entreprise. Je tiens pourtant à remercier M. Élie-Joseph Bois, rédacteur au Temps, qui, le premier, a annoncé l’édition des Œuvres complètes ; M. Henri Welschinger, qui a réalisé ce miracle de réconcilier Stendhal et l’Institut en lisant à l’Académie des Sciences morales des inédits ensuite insérés dans les Procès-verbaux officiels ; M. Georges Gain, dont les Souvenirs stendhaliens (Figaro du 20 septembre 1912) me sont particulièrement chers ; M. A. Paupe, dont le concours incessant m’est toujours précieux et dont l’ouvrage sous presse, Vie littéraire de Stendhal, Documents inédits, appendice aux Œuvres complètes, sera bien souvent cité dans nos études préliminaires. M. Georges Grappe s’est employé amicalement pour Brulard comme si cette œuvre était sienne. J’ai profité des conseils de M. Mario Roques que mon projet a toujours intéressé. Je dois aussi une reconnaissance toute particulière à M. Maignien, conservateur de la Biblio-