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DE L’ÉDITEUR

dans l’introduction de Cordier à son Molière jugé par Stendhal, alors que l’étude sur Cymbeline, recopiée par Crozet, avait fourni une note de l’Histoire de la Peinture en Italie.

Enfin les pages sur le rire complètent cet ensemble dont la réunion, l’ordre, et même le titre, pour n’avoir point été indiqués par Beyle présentent, me semble-t-il, un caractère assez stendhalien pour me valoir, aux yeux mêmes d’un lecteur sévère, des excuses à défaut d’assentiment.


Henri Martineau.