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LICIDAS.

Non, ma mère, c’est la signora Zéphirine qui lui faisoit répéter une leçon de danse : elle étoit Armide ; il étoit Renaud.

M. DE KRIEGSCHENMAHL.

Mon fils, je n’aurois jamais cru cela de toi.

RODOLPHE.

Ni moi non plus.

M. DE KRIEGSCHENMAHL.

Enfin tout cela va finir.

LE COMMISSAIRE.

Oui… oui, tou… out cela va finir.

LICIDAS.

Ah ! voici la signora Fantastici.


Scène VII.


les précédens ; LA SIGNORA FANTASTICI.
ZÉPHIRINE.

Ah ma mère ! je suis bien aise de te voir. Il y a ici un trouble terrible.

LA SIGNORA FANTASTICI.

Est-ce que le dénoûment approche ? mais il n’est pas assez préparé. Mon cher Licidas,