Page:Souza - La Poésie populaire et le Lyrisme sentimental, 1899.djvu/93

Cette page n’a pas encore été corrigée

l’aide de la musique une interprétation originale et un peu voyante en a tiré de véritables actions dramatiques qui les ont sorties de leur atmosphère. Ce n’est pas ainsi qu’il les’faut comprendre ; il ne faut les entendre qu’en soi ; là seulement où aucun geste ne les limite, là où elles ne prennent point de figure, où leurs voix gardent les prolongements d’un infini. Combien il est regrettable que M. Maurice Maeterlinck n’ait pas augmenté de plus de « douze chansons » le recueil, la Quenouille et la Besace, qu’il avait annoncé ?