Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/77

Cette page a été validée par deux contributeurs.


II

LA DÎNETTE


À Torcello, pour goûter sur l’herbe, elle a acheté des pralines, un plein petit réticule d’humbles pralines rouges.

Assise à côté de moi, elle s’amusait à les poser, une à une, entre mes lèvres.

J’avais faim.