Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/42

Cette page a été validée par deux contributeurs.

sous, sur les quais de Paris, sentirait ses mains tressaillir, en lisant combien vous étiez belle, — plus belle que ces Vénus illustres, — toute rougissante, toute peureuse, toute nue, dans mon fauteuil de damas bleu, ô Vénus du Palazzino !