pour les canonicats ; mais il ne payait pour droit de chape qu’une somme de 60 livres au lieu de celle de 120 livres fixée pour le droit de chape des chanoines. — Choisi ordinairement parmi ces derniers, sans que cela fût d’obligation, cet officier portait au chœur, l’été la même aumusse, l’hiver le même habit que les titulaires des canonicats ; comme eux, il avait sa place à l’une des hautes stalles du chœur où l’on chantait les heures canoniales ; mais, lorsqu’il n’était pas chanoine, il n’avait pas voix délibérative aux assemblées capitulaires.
Le sescalat avait une prébende particulière dont le revenu, au moment de la Révolution, consistait en vingt-cinq cartons de froment à prendre dans les greniers du Chapitre, en une rente en directe sur plusieurs vignes, situées au terroir de Paracol, du rapport de deux cent cinquante à trois cents lagènes, ou de cinq à six cents pots de vin, et en une rente de 12 livres payée par le trésorier.
Voici les noms de quelques-uns des titulaires du sescalat :