Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/144

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LYDA

Sur le chemin de la moisson
Les belles filles sont venues,
La faucille aux épaules nues
Et sur la bouche une chanson.
— Lyda ! Lyda ! viens dans la plaine !
Lyda ! Lyda ! voici le jour :
Plus tard tu fileras la laine ;
Mais garde ton cœur de l’amour !