Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/137

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
120
LES AILES D’OR

Voici que les couchants de cuivre
Sonnent l’adieu des jours vermeils
Et, sous l’aile des lourds sommeils,
Appellent les cœurs las de vivre,
— Que nous fait le déclin des jours !
La nuit est douce à nos amours.