Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/90

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Il n’y a qu’un rocher : c’est eux et ils ne s’y heurtent pas, parce qu’ils ne savent pas la peine, l’autre peine, celle du autour de soi.

Que viendraient faire alors des vagues, des vagues colorées de souffrance, de névrose, d’abîmement, des vagues qu’ils ne comprendraient pas tant ils sont éloignés de nous !