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16 avril



La mère de Resey me mène. À tâtons j’entre dans la chambre. Je sens déjà l’odeur d’un cierge qui brûle. Je touche une barre de cuivre et je suis le contour du lit. Il y a de longs rideaux souples qui sont du brouillard sous mes doigts écartés, appuyés sur le vide.