portuner juste en ce moment ! Sir Oliver n’aurait qu’à survenir et le rencontrer ici… et…
Joseph. — Vive Dieu, monsieur Stanley, pourquoi revenir m’assommer en ce moment ? Il m’est impossible de vous recevoir maintenant, sur ma parole.
Sir Oliver. — Monsieur, je sais que votre oncle Oliver est attendu ici ; et, malgré sa ladrerie envers vous, je veux tenter une démarche auprès de lui.
Joseph. — Monsieur, il n’y a pas moyen que vous restiez ici à présent : ainsi, faites-moi le plaisir… Venez dans un autre moment et, je vous le promets, on vous assistera.
Sir Oliver. — Non : il faut que je voie sir Oliver.
Joseph. — Morbleu, monsieur ! j’exige alors que vous sortiez d’ici tout à l’heure.
Sir Oliver. — Cependant, monsieur…
Joseph. — Monsieur, je l’exige… Holà, William ! montrez la porte à monsieur. Puisque vous m’y forcez, monsieur… pas une minute de plus… on n’a jamais vu insolence pareille ! (Il va pour le pousser dehors.)
Charles. — Eh ! qu’est-ce donc ? Que le diable m’emporte, mais c’est mon petit brocanteur que vous tenez là ! Parbleu, mon frère, ne faites pas