Il l’emportera, il l’emportera ; les fleurs le lui annoncent ; il l’emportera !
Ce ne sera pas avec mon consentement, je vous le promets. Ce monsieur n’a rien ; il a été de la société de ce fou de prince et de Poins ; il est de trop haute volée, il en sait trop long. Non, il ne nouera pas un nœud à sa destinée avec les doigts de ma fortune. S’il la prend, qu’il la prenne telle quelle. Ce que je possède est attaché à mon consentement, et mon consentement ne va pas de ce côté-là.
J’insiste vivement pour que quelques-uns d’entre vous viennent dîner chez moi ; outre la bonne chère, vous aurez de l’amusement ; je vous ferai voir un monstre. Maître docteur, vous viendrez ; et vous aussi, maître Page ; et vous, sir Hugh !
Eh bien, adieu… Nous n’en serons que plus à l’aise pour faire notre cour chez maître Page.
Retourne à la maison, Zohn Rugby ; ze reviendrai bientôt.
Adieu, mes chers cœurs ; moi, je vais rejoindre mon honnête chevalier Falstaff, et boire du canarie avec lui.
Je pense qu’auparavant je lui servirai à boire avec certain chalumeau qui le fera danser.
Voulez-vous venir, messieurs ?
Nous sommes à vous. Allons voir ce monstre.