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LES JOYEUSES ÉPOUSES DE WINDSOR.

Il l’emportera, il l’emportera ; les fleurs le lui annoncent ; il l’emportera !

page.

Ce ne sera pas avec mon consentement, je vous le promets. Ce monsieur n’a rien ; il a été de la société de ce fou de prince et de Poins ; il est de trop haute volée, il en sait trop long. Non, il ne nouera pas un nœud à sa destinée avec les doigts de ma fortune. S’il la prend, qu’il la prenne telle quelle. Ce que je possède est attaché à mon consentement, et mon consentement ne va pas de ce côté-là.

gué.

J’insiste vivement pour que quelques-uns d’entre vous viennent dîner chez moi ; outre la bonne chère, vous aurez de l’amusement ; je vous ferai voir un monstre. Maître docteur, vous viendrez ; et vous aussi, maître Page ; et vous, sir Hugh !

shallow.

Eh bien, adieu… Nous n’en serons que plus à l’aise pour faire notre cour chez maître Page.

Sortent Shallow et Slender.
caïus.

Retourne à la maison, Zohn Rugby ; ze reviendrai bientôt.

Sort Rugby.
l’hôte.

Adieu, mes chers cœurs ; moi, je vais rejoindre mon honnête chevalier Falstaff, et boire du canarie avec lui.

gué, à part.

Je pense qu’auparavant je lui servirai à boire avec certain chalumeau qui le fera danser.

Haut.

Voulez-vous venir, messieurs ?

tous.

Nous sommes à vous. Allons voir ce monstre.

Ils sortent.