Pour ma petite part, — laissez-moi faire.
— Vous êtes les bienvenus, mes aimables convives : noble dame — ou gentilhomme, quiconque n’a pas une franche gaîté, — n’est pas de mes amis… Voici pour confirmer ma bienvenue : — à la santé de vous tous !
Votre Grâce en use noblement. — Qu’on me donne un hanap qui puisse contenir mes remercîments ; — cela m’épargnera autant de paroles.
Milord Sands, — je vous suis obligé ; animez vos voisines… — Mesdames, vous n’êtes pas gaies. Messieurs, — à qui la faute ?
Il faut d’abord que le vin rouge monte — à leurs jolies joues, milord ; alors elles parleront tant — qu’elles nous feront taire.
Vous êtes un joyeux partenaire, — milord Sands.
Oui, quand je peux faire ma partie. — À votre santé, madame, et faites-moi raison ; — car ceci s’adresse à une chose…
Que vous ne pourriez pas me montrer.
— Quand je disais à Votre Grâce qu’elles parleraient bien vite !