pital — du mal français ; — et voilà mon refuge à jamais fermé. — Je me fais vieux, et de ma personne lasse — l’honneur fuit bâtonné. Eh bien, je vais me faire ruffian, — et m’adonner quelque peu à l’escamotage des bourses. — Je vais voler vers l’Angleterre, et là je volerai. — Je mettrai des emplâtres sur ces contusions, — et je jurerai les avoir reçues dans les guerres des Gaules.
— Paix à cette assemblée réunie pour la paix ! — À notre frère de France, ainsi qu’à notre sœur, — salut et bonjour gracieux ! joie et prospérité — à notre belle et princière cousine Catherine ! — Et vous aussi, rameau et membre de cette royauté, — par qui a été ménagée cette grande entrevue, — duc de Bourgogne, nous vous saluons. — Princes et pairs de France, la santé à vous tous !
— Nous sommes bien joyeux de vous contempler en face, — très-digne frère d’Angleterre. Soyez le bienvenu, — ainsi que chacun de vous, princes anglais (38).
— Frère d’Angleterre, puisse l’issue — de cette belle journée et de cette gracieuse entrevue être aussi heureuse — que nous sommes aises de contempler vos yeux, — ces yeux qui jusqu’ici ont lancé — contre les Fran-