Il a rejeté du pied notre butin, — et dédaigné les choses les plus précieuses, comme si elles étaient — le rebut grossier du monde ; il convoite moins — que l’avarice même ne donnerait ; il trouve la récompense — de ses actions dans leur accomplissement et se contente — de vivre en employant la vie.
Il est vraiment noble : — qu’on le rappelle.
Qu’on appelle Coriolan.
Il va paraître.
— Coriolan, c’est le bon plaisir du sénat — de te faire consul.
Je lui dois à jamais — ma vie et mes services.
Il ne vous reste plus — qu’à parler au peuple (7).
Je vous conjure — de me dispenser de cet usage ; car je ne pourrai jamais — revêtir l’humble robe et, tête nue, supplier le peuple — de m’accorder ses suffrages pour mes blessures ; permettez — que je n’en fasse rien.
Monsieur, le peuple — doit avoir son vote ; il ne retranchera pas — un détail du cérémonial.
Ne le laissez pas épiloguer ; — je vous en prie, conformez-vous à la coutume, — et, comme l’ont fait vos prédécesseurs, acceptez — votre élévation dans la forme voulue.