vers vous — dont la générosité sidérale donnait la vie et le mouvement — à tout leur être !… J’en suis confondu et je ne saurais couvrir — cette monstrueuse ingratitude — de mots assez gros.
— Laissez-la toute nue ; on ne la verra que mieux. — Honnêtes comme vous l’êtes, votre caractère — fait connaître et ressortir le leur.
Lui et moi, — nous avons fait notre chemin sous l’averse de vos bienfaits, — et nous en sommes pénétrés jusqu’au cœur.
Ouais, vous êtes d’honnêtes gens.
— Nous sommes venus jusqu’ici vous offrir nos services.
— Hommes honnêtes ! Ah ! comment m’acquitterai-je envers vous ? — Pouvez-vous manger des racines et boire de l’eau froide ? Non.
— Tout ce que nous pourrons faire, nous le ferons pour vous rendre service.
— Vous êtes d’honnêtes gens. Vous avez appris que j’avais de l’or ; — oui, j’en suis sûr. Avouez la vérité : vous êtes d’honnêtes gens.
— On le dit, mon noble seigneur ; mais ce n’est pas pour cela — que nous sommes venus, mon ami et moi.
— Bonnes gens ! honnêtes gens !…
Comme faiseur de portraits, — tu es le premier dans