Te mettrai-je dans ta route ?
Non, avenant monsieur ; non, doux monsieur.
Alors, adieu ; il faut que j’aille acheter des épices pour notre fête des toisons.
Bonne chance, mon doux monsieur.
Va, ta bourse n’est plus assez ardente pour acheter tes épices. Je te rejoindrai à ta fête des toisons. Si je ne fais pas suivre cette filouterie d’une autre, et si je ne fais pas des tondeurs autant de moutons, que je sois désenrôlé, et que mon nom soit mis sur les registres de la vertu !
Trottons, trottons le long du sentier.
Et prenons le joyeux style, eh !
Un cœur allègre marche tout le jour ;
Un cœur triste se fatigue d’un simple mille, eh !
— Ces vêtements inaccoutumés à chacune de vos grâces — donnent une nouvelle vie. Ce n’est plus une bergère ; c’est Flore — surgissant au front d’Avril.