Monseigneur, nous avons fait de notre mieux — pour arracher de lui la cause de toute sa douleur, — mais il nous tient toujours à l’écart, et il n’y a pas moyen — de lui faire répondre à ce que nous lui expliquons.
Cependant, il était un peu plus disposé à la gaieté — quand nous l’avons laissé, et il a, je crois, — donné l’ordre de jouer ce soir une pièce — pour laquelle il implore la présence de votre altesse.
De tout notre cœur. Nous en sommes enchanté ; — messieurs, cherchez encore à accroître sa gaieté ; — n’épargnez pas la dépense, nos coffres vous seront ouverts, — et nous vous serons toujours reconnaissant.
Soyez sûr que vous serez obéi en tout ce que nous pourrons…
Merci, messieurs, et ce que la reine de Danemark — peut pour vous être agréable, sera fait, soyez-en sûrs.
Nous retournons près du noble prince.
Merci à vous deux. Gertrude, vous verrez cette pièce ?
Oui, monseigneur, et j’ai la joie dans l’âme — de le voir en humeur de s’égayer.
Madame, laissez-vous, de grâce, diriger par moi. — Mon bon souverain, permettez-moi de le dire, — nous