plus généreux : vous ne pouvez guère vous imaginer à quel point. Et quelle belle galerie j’aurais là pour me promener, pour étudier, pour faire des vers !
Oh ! c’est fort agréable pour un homme de lettres.
Voyez ces cartes, ces peintures, ces plans : comme tout est élégant et choisi !
Par la messe, le voici.
Ce doit être un gentleman ; j’aime fort sa barbe.
Toute prospérité à votre révérence !
Vous êtes le très-bien venu, monsieur.
Un salut familier.
Par la messe ! il paraît que le gentleman fait grand cas de lui.
Je vous en supplie, monsieur, protégez-moi, ou je suis perdu.
J’ai ici votre mascarade, monsieur ; voyez, monsieur.
Tout d’abord je conjure votre révérence de me pardonner mon impertinence ; la nécessité me rend plus hardi que je ne voudrais l’être… Je suis un pauvre gentleman, un homme de lettres ; et, pour comble de malheur, je suis tombé dans les mains d’officiers impitoyables ; j’ai été arrêté pour des dettes que, si minimes qu’elles soient, je suis