Allez ! frère Flowerdale, je vous prête tout cet argent.
Merci, sœur.
Je veux qu’il vous arrive malheur, si vous prêtez une obole à ce drôle. Puisque vous ne savez pas garder votre arzent, ze le garderai, moi !
Il est fâcheux de secourir de la sorte — un homme qui se fait gloire de ses continuelles vilenies.
— Frère, vous voyez comme tout le monde vous censure. — Adieu ! je prie le ciel de vous réformer.
— Venez ! ze vais vous accompagner ; ze saurais vous protézer — contre vingt misérables de son espèce. — Adieu, coquin, et puisses-tu au plus vite être pendu, — comme tu dois l’être ! Venez, sir Arthur.
— Peste soit de ce misérable marchand de draps ! — Ce gars du Devonshire est un porc des pieds à la tête. — Ses mains sont faites seulement pour soulever des ballots. — Il a le cœur aussi grossier que le visage. — Il est aussi éloigné des caractères magnanimes — que je le suis de servir les cochons et de boire avec les animaux, — comme j’y suis presque réduit en ce moment. Mais quel remède ? — Quand l’argent, les ressources, les amis, tout vous manque, — adieu l’existence ! Tout est fini.