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LES DEUX NOBLES PARENTS.
la fille du geôlier.
Je conduirai le pas.
troisième campagnard.
Oui, oui.
gerrold.
— Éloquemment et adroitement. Retirez-vous, enfants ! — J’entends les cors. Laissez-moi méditer un peu, — et attention à votre entrée !
Tous sortent excepté Gerrold.
Que Pallas m’inspire !
Entrent Thésée, Pirithoüs, Hippolyte, Émilie, Arcite, et leur suite.
thésée.
— Le cerf a pris ce chemin.
gerrold.
Arrêtez et édifiez-vous !
thésée.
Qu’avons-nous là ?
pirithoüs.
— Quelque fête champêtre, sur ma vie, seigneur !
THÉSÉE, à Gerrold.
— Eh bien, monsieur, poursuivez ; nous allons nous édifier. — Mesdames, asseyez-vous. Nous ferons une halte.
gerrold.
— Duc intrépide, salut ! salut, charmantes dames !
thésée.
Voilà un froid commencement.
gerrold.
— Pour peu que vous nous soyez favorables, notre fête champêtre est parfaite. Nous sommes ici un petit nombre de ceux — que les langues grossières qualifient de villageois ; — à dire vrai, et sans aucune fable, — nous sommes