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(ÉPILOGUE)

Le Rideau s’ouvre une dernière fois.

De nouveau l’on aperçoit la conque montagneuse, et, couché noblement au centre des échos,

ORPHÉE

de nouveau seul.

Sa grande Voix et sa LYRE aux cordes nombreuses et retendues, sonnent à pleine envolée…

Il va se faire un moment radieux, un Hymne…

Mais survient, à pas précipités,

LE VIEILLARD-CITHARÈDE
Il jette des signes… il veut parler…