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en laissant tomber ses bras en Smce qui ifespère plus rien, et qui ne serait pas lâché de pouvoir s’en aller.

—— Mille crêtes l ne cédons pas a la force! criait ce brave M. le Cou qui ne tremblaitque de colère.

— Et à quoi diable céderions-nous, si ce n'est à la force? repartit le SINGE qui, dans son désespoir, s’arrachait la barbe et se meurtrissait le visage.

— Quoi! s’écria le Coq en lui sautant au collet, vous auriez la lâcheté de donner votre démission ! ! . ..

—— N’en doutez pas, répondit le SINGE qui devenait pale comme ce papier : refuser ce que tous demandent, c'est remuer un nid de Gusees. Si l’on m’y force, je ferai tout

ce qu’ou voudra; je.....

Il ne put achever. La porte mente du cabinet sïiuvrit brusquement. C'était FÉLÉMIAVI‘ qui Parait ouverte, ce

fut le BeNAnn qui entra.

—- Arrêtez ares messieurs, dit ce dernier aux Duuutzs qui Faccompagiæaient, en indiquant nos trois rédacteurs en chef. Le Peanoqusr était dans la cheminée, le SINGE s’é— tait caché sous son fauteuil, M. le Gag était furieux; sa crête travail; jamais été si rouge. (in les arrêta.

- Que fais-tu là‘? me dit le f‍lemme.

—- Ce que vous voudrez, Monseigneur, lui répondis-je en tremblant.

— Eh bien, drôle t continue me (lit-il. —- Je continue dont‘.