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le haut prix des lingots, 87. Il est attaqué de toutes parts. Le parlement décrète que les billets de banque ne sont pas dépréciés, 88. Ricardo publie un Essai sur le bas prix du blé, 88. En 1815, il propose l’usage d’une monnaie de papier, 89. En 1817, il publie son livre sur les principes de l’économie politique, 89. Il prend la défense de Carlile, accusé d’avoir publié des livres irréligieux, 90. Il écrit à J.-B. Say ; il déplore la violence de la guerre, 92. Son opinion sur le Catéchisme d’économie politique, 93. Son opinion sur ce qui constitue la valeur des choses, 93, 94. Il pense qu’une de ses opinions n’a pas été bien comprise par J.-B. Say, 103, 104. Il adopte la doctrine de J.-B. Say, sur les services productifs, 108. Il adopte complètement la majeure partie des Lettres à Malthus, 110. Sa doctrine sur les fermages appartient originairement à M. Malthus ; en l’adoptant, il en a exagéré les conséquences, 301. Voy. Fermage, richesses.

Richesses : Ricardo les estime, non par leur valeur, mais par la somme entière d’utilité qui est en elles, 125. Comment elles sont définies par mylord Lauderdale et M. Malthus ; vices de ces définitions, 273. Les choses ne sont mises au rang des richesses dont l’économie politique s’occupe, que lorsqu’elles ont de la valeur, 274. Elles sont définies par M. Thomas Tooke : objets calculés pour l’usage ou la jouissance et existant en quantité limitée, 317. Voy. Définitions.

Rossi : il attaque le principe de l’utilité, 372.

Royauté : elle est comparée à l’estomac par La Fontaine ; vices de cette comparaison, 384, 385.