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fondant en larmes, c’est vous qui dites que j’ai volé !

― Eh bien, non, répondit vivement Cornélius, non ! je ne le dis pas ; non ! je ne le crois pas ! Mais, chère enfant, vous voyez bien qu’il faut m’aider à vous justifier, à trouver le coupable, et pour cela il faut être franche avec moi et tout me dire, tout !...

― Oui, vous êtes bon, vous ! répondit Christiane en pleurant. Vous avez pitié de moi et vous ne croyez pas ce qu’ils disent ! Défendez-moi !... Est-ce que vous ne voyez pas qu’ils sont stupides avec leur vol ?... Et qu’est-ce que l’on veut que je vole ici ?... Est-ce que ce n’est pas tout mon cœur, cette maison ?... Est-ce qu’il y a dans ce mur-là, reprit-elle avec plus d’exaltation en frappant