Qu’il ne saurait vivre sans elle ; |
» Ils sont beaux, ces vers, n’est-ce pas ? Mais ils te sembleraient plus beaux encore, si comme moi tu les avais lus, un soir de printemps, loin de France, loin de celle que tu aimais et dont tu t’étais follement séparé.
» Au fait, c’est le soir où je les ai lus, que j’ai compris et que j’avais commis une erreur en fuyant et que je ne pourrais plus continuer à me-