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GÉRARD, à Sarah.

Quand je vous le disais ! (Barbara, cherchant avec elle dans les paquets.) Le voici… avec toutes vos munitions de guerre !

BARBARA.

Oh bien ! Et les munitions de vous pour le dessin ? Et aussi le habillement ?

GÉRARD.

Et pour vous aussi, en cas de pluie. J’ai tout surveillé.

BARBARA, à Sarah.

Ici est le rendez-vous pour le manger ?

GÉRARD, essayant d’ouvrir le chalet, qui est fermé.

Oui, et, si nous pouvons découvrir les habitants de ce chalet, nous aurons de la crème et du miel.

BARBARA, qui prend divers objets dans le nécessaire.

Je trouverai le habitantes.

SARAH.

Vous voilà déjà repartie ? sans reprendre haleine ?

BARBARA.

Oh ! je reposer moi avec le pêche, dans le bord de cette petite lac.

SARAH.

Alors, vous n’avez que faire de remporter votre fusil ?

BARBARA.

Oh ! oui ! pour tiouer le sarcelles. Il est amiousante, et mon chien nager lui dans l’eau beaucoup bien.

SARAH.

Je n’ai plus le courage de marcher ; sans cela, j’irais admirer vos prouesses. (Bas.) Car Gérard est absurde aujourd’hui… par moments ! Si vous l’emmeniez ?

BARBARA.

Oh ! s’il offenser vous, vous prenez le fiousil de lui. Jamais l’hôme inconséquente, avec le fâme qui porter le fiousil.

Elle sort.