Il dit qu’il est un notaire.
Je le vois, parbleu ! bien à sa perruque ; mais je ne l’eusse point reconnu à son ramage,
Merci, monsieur le notaire. (Aux valets.) Bien le bonjour, messieurs ! (Aux servantes. ) Vot’ servante, mesdames !
Pardon ; je n’ai pas fini ; il y a un second couplet.
Permettez, monsieur le notaire, mademoiselle est fatiguée ; je vous veux entretenir d’affaires sérieuses.
Moi, Seigneurie illustrissime, je suis le premier laquais, c’est-à-dire le confident, l’homme d’intrigues, je veux dire, l’homme d’esprit et de confiance de la famille.
Tiens ! c’est M. Pascariel, qui était valet dans nos pays, l’an passé, chez M. Léandre ! Bonjour, monsieur ; ça va donc bien ?
Elle est à moi !
Vous voilà donc enfin, divine signora ; en vérité, il y a tantôt mille ans qu’on vous attend ici ! Souffrez que je vous embrasse et vous fasse cent mille protestations de tendresse plus superlatives les unes que les autres.
Ma fine, mamselle, je ne sais point parler comme vous, mais je vous suis obligée de vos honnêtetés.
Quelle est cette dame attifée ?