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et que, certes, on ne trouvait chez aucune femme à Saint-Front. Laurence était imposante et prévenante à son gré. Elle souriait en elle-même du trouble où elle jetait tous ces petits esprits qui étaient venus à l’insu les uns des autres, chacun croyant être le seul assez hardi pour s’amuser des inconvenances d’une bohémienne, et qui se trouvaient là honteux et embarrassés chacun de la présence des autres, et plus encore du désappointement d’avoir à envier ce qu’il était venu persifler, humilier peut-être ! Toutes ces femmes se tenaient d’un côté du salon comme un régiment en déroute, et de l’autre côté, entourée de Pauline, de sa mère et de quelques hommes de bon sens qui ne crai-