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les yeux depuis longtemps, sentira le besoin du repos de toute l’année, comme je le sens à cette heure.

Tout ce que disait là mon beau-père arriva comme il le conseillait et l’augurait. Le bon Dieu bénit notre obéissance ; et, comme la vie est un ragoût mélangé de tristesse et de contentement, la pauvre Mariton vint souvent pleurer chez nous, et le bon carme y vint souvent rire.




FIN





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