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VII


Landry ne pouvait pas deviner cette jalousie de son frère ; car, de son naturel, il n’avait eu, quant à lui, jalousie de rien en sa vie. Lorsque Sylvinet venait le voir à la Priche, Landry, pour le distraire, le conduisait voir les grands bœufs, les belles vaches, le brebiage conséquent et les grosses récoltes du fermage au père Caillaud ; car Landry estimait et considérait tout cela, non par envie, mais pour le goût qu’il avait au travail de la terre, à l’élevage des bestiaux, et pour le beau et le bien fait dans toutes les choses de la campagne. Il prenait plaisir à voir propre, grasse et reluisante, la