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— Oh ! oui, monsieur Goefle. Je ne demande pas mieux !

— Mais tu l’apprendras vite ?… Je suis fort impatient, je t’en avertis !

— Oui, oui, monsieur Goefle, j’apprendrai tout de suite.

— Sais-tu faire un lit ?

— Oh ! je crois bien ! Chez le pasteur, je faisais toujours le mien tout seul !

— Ou tu ne le faisais pas du tout ! N’importe, nous verrons ça.

— Mais, monsieur Goefle, ma tante me disait, quand elle est venue à Falun pour me mettre en route avec vous, ce matin : « Tu n’auras rien à faire au château où tu vas avec ton maître. Il y a dans le château de M. le baron de… de… »

— De Waldemora.

— Oui, oui, c’est ça ! « Il y a de belles chambres toujours propres et un tas de domestiques qui font tout. Ce que M. Goefle veut, c’est qu’on soit là pour commander à sa place, et il ne veut plus emmener François, parce que François ne reste jamais dans sa chambre. Il va boire et se divertir avec les autres laquais, et monsieur est obligé de courir partout et d’appeler pour demander ce qu’il lui faut. Ça le dérange. Monsieur n’aime pas ça du tout. Toi, tu seras