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femme, dites-vous, tu crains d’obtenir ce que tu demandes souvent ; je t’ai vue aspirer au triomphe que tu repousses !… Eh bien ! va, je suis faible, je suis lâche, mais je ne suis ni ingrate, ni vaine, je n’ai point ces vices de la femme. Non, mon ami, je ne veux point briser le cœur de l’homme, éteindre l’ame du poëte. Rassure-toi, j’aime Sténio.