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donc craindriez-vous d’y porter vos lèvres pures ? il est impossible qu’il y ait une goutte de fiel pour vous… Je n’ose nommer Jacques, et pourtant, ma belle sainte, je ne puis m’empêcher de rêver que quelque jour… un beau soir d’été plutôt, Jacques vous surprendra à la campagne lisant ce paragraphe écrit de sa main : « Si l’on pouvait s’asseoir à tes pieds !… »

« Quand vous m’écrirez que ce moment est venu, je reviendrai près de vous, j’y reviendrai calme et purifiée ; et, à mon tour, Alice, je goûterai ce bonheur d’avoir fait des heureux, que vous vouliez garder pour vous seule !


« Isidora. »



FIN.