Page:Sand - Histoire de ma vie tomes 1a4 1855 Gerhard.djvu/280

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

leur avons données. Tu vois que nous conservons des idées et des sentimens humains, malgré la guerre et le carnage. Je parle bien souvent de toi avec George qui me parle aussi de sa mère. Quelque bonne qu’elle puisse être, tu dois être encore meilleure et au-dessus de toute comparaison. Quant à père Deschartres, en toutes choses il est incomparable, et puisque le voilà maire de Nohant, je le salue jusqu’à terre et l’embrasse de tout mon cœur. »

« MAURICE. »