Page:Sand - Flavie, 1875.djvu/79

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Adieu, ma chère. Je te dirai la suite. Mais il est temps que je fasse partir ce volume ; et puis je ne suis pas fâchée de te laisser en suspens, partageant un peu, j’espère, mon dépit, mon impatience et ma curiosité.

Mes compliments à ton mari et un baiser à tes enfants.