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C’est là un problème que vous sauriez peut-être résoudre, mais cela n’en vaut guère la peine.

Ce qu’il y a de net et de clair en moi, c’est l’affection que je vous porte et dont je vous renouvelle la vive assurance.

G. SAND.

Tendresses de nous tous.


CMXXXIV

À M. LE VICOMTE DE SPOELBERCH DE LOVENJOUL,
À BRUXELLES


Nohant, 27 juin 1875.


Cher monsieur,

Ne vous tourmentez pas de la visite de ce brave homme, lequel ne m’a pas tourmenté du tout. Il voulait me voir et me demander encore pour l’acquit et le suracquit de sa conscience si je ne désapprouvais pas ses recherches[1]. Il paraît que je lui ai rendu autrefois un grand service. Je ne m’en souvenais pas plus que des pages éparpillées par moi dans tous les coins. Enfin il s’est fait reconnaître et j’ai fait bon accueil à ses scrupules et à ses remerciements. Je n’ai pas retrouvé la Paix. Je l’aurai peut-être

  1. Relatives aux écrits perdus de George Sand.