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tié. Je suis venu ici pour vous prier d’accepter le repas que vous m’avez forcé d’accepter hier.

Je vis alors que le gnome était un aimable homme, car il me fit servir un vrai festin où je m’observai sagement à l’endroit des vins et où il ne fut plus question d’huîtres que pour les déguster. Je repartais à midi, il m’accompagna jusqu’au chemin de fer en me laissant sa carte : il s’appelait tout bonnement M. Gaume.