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sances qui sont dans la terre et au-dessus de la terre, dans les flots en fureur, dans les roches stériles et menaçantes, dans les vents, dans les nuages et dans la foudre ; et nous voyons bien que ces puissances existent et sont redoutables ; mais il en est une plus méchante et plus perfide : c’est celle de certains hommes. Nos vrais ennemis, nos vrais fléaux sont là-haut dans ce village qu’ils appellent la porte du ciel, et qui a été pour nous la porte du malheur.

» Écoutez un rêve que j’ai fait plus