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nos corps pour une brebis ? dit le jeune homme.
— Non ! dit Sath en colère, car je te briserais ; mais je m’en repentirais ensuite, parce que tu m’as souvent cédé. Que la brebis ne nous fâche donc plus, et qu’elle ne soit à aucun de nous deux. » Disant ainsi, Sath assomma le pauvre animal d’un coup de sa massue.