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plus coupable qu’un autre de l’avoir quittée aussi.

— Sois pardonné, ô mon frère, répondit Évenor en le serrant dans ses bras, puisque nous allons porter à ceux qui nous ont donné le jour la consolation et la joie. J’ai le droit de te promettre ce pardon de leur part, car ce n’est pas ma volonté qui m’a éloigné d’eux si longtemps. »