Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/134

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Mais détrompe-toi et hâte-toi de détromper ces hommes égarés par toi dans le rêve d’un culte impie. Ce n’est pas l’offrande du sang qui m’attire et me décide à venir à vous. »

Et il ajouta, en leur montrant Ops, qui était à ses côtés :

« C’est la parole douce de cet enfant,