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de la mer Caspienne à celles de l’Irlande, des cimes du Caucase à celles de la Sardaigne, etc.

Or, comme ce n’est ni d’un Esquimau ni d’un Cafre que nous recherchons la trace dans ce premier âge ; comme c’est à un homme blanc, ou tout au plus doré par un bienfaisant soleil, que nous voulons nous intéresser, il nous faut admettre que cet homme, semblable à nous, est né sous une latitude où nous pourrions naître et nous développer sans souffrance, par conséquent dans une atmosphère souple, pure et tempérée. Ce peut être aussi bien en