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LETTRES
grosses affaires politiques qui se mènent d’ici si bien, mais qui vont si laborieusement. — C’est un poids pour tous les cœurs patriotes.
Je mets à vos pieds, Princesse, l’hommage de mon respectueux et tendre attachement.
CLXVIII
Ce 27 juillet.
Princesse,
La petite Louison d’autrefois, aujourd’hui Mme Louise F…[1], demeure : no 6, rue Perceval (Plaisance), Paris.
J’avais lu les lignes des Débats : il y a en tout ceci un peu de ramollissement ; il faut aimer les femmes en son temps, afin de ne pas extravaguer à première vue quand on est hors d’âge.
La difficulté pour Soulié est aussi dans sa modestie : il se défie de ses forces. Je le verrai aujourd’hui et le tâterai à fond.
Je crains que ce qu’une haute dame veut de-
- ↑ Il a été déjà question de cette nièce de Nodier, dans une lettre du 16 octobre 1863 (page 77).