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135) Rayé : „les ouvrit“.

136) Rayé : „jeune fille“.

137) Rayé : „inspirez“.

138) Cette forme de coprolagnie masochistique est encore aujourd’hui très fréquente, comme le prouvent les cas nombreux de Krafft-Ebing. Cf. cas No. 68 p. 123 (10 e éd.).

139) Ce dialogue décrit très bien le développement progressif des anomalies sexuelles, qui est lié étroitement au besoin de varier les actes pervers. Les instincts sexuels de Durcet se sont dans le cours du temps retournés, pour ainsi dire „ab anterioribus ad posteriora“. Maintenant il est pédéraste et sodomite enragé. Mais cette „perversion“ n’est pas, comme le remarque fort justement le marquis de Sade, innée, elle s’est développée peu-à-peu et est ainsi devenue une monomanie indéracinable.

140) Rayé : „auparavant“.

141) Rayé : „ne pouvait pas oublier“.

142) Rayé : „tant de“.

143) Le cas No. 41 en rappelle un semblable de Krafft-Ebing, ce notaire qui amassait le papier souillé des cabinets d’aisance. Ces „collectionneurs d’étrons“ représentent une catégorie particulière des coprolagnistes.

144) Les mots „quant à“ entre „pour“ et „moi“ doivent être rayés.

145) Le cas 43 appartient à cette classe des coprolagnistes nommés „renifleurs“ ou „fétichistes de cabinet d’aisance“, parce qu’ils n’éprouvent une jouissance sexuelle que dans les cabinets d’aisances dont les odeurs les irritent.

146) Rayé : „ce que n“.

147) Rayé : „avait trop besoin“.

148) Rayé : „Adonis en cuisses“.

149) Rayé : „entre“.

150) Rayé : „pour“.

151) Les pratiques perverses du cas 47 s’exécutent d’après le livre de Taxil encore aujourd’hui dans les bordels de Paris. Il donne aux amateurs de cette catégorie le nom caractéristique de : „stercoraires platoniques“. La scène décrite par lui est absolument semblable à celle du cas 47. „L’homme,“ dit Taxil, „étendu sur le dos, a le tabouret de verre placé au-dessus de la tête, et